La souris coupe des roseaux Et les charge dans son canot. Car le vent a soufflé en trombe Et lui a arraché son chaume.
Mais voilí qu’un pélican Vient lui donner un coup de main Il noue les roseaux serré Et en profite pour pêcher.
Le vent souffle sans pitié, Les roseaux sont très bruyants. La souris est bien pressée Dlaller frire quelques poissons.
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